recherche
sous-menu
Vous êtes ici : Accueil > Photos droles > 2021
LIENS COMMERCIAUX

2021


Le contenu apparaitra dans 10 secondes




Concernant l’équipe des africains de France, il y a 3 ans, nous avons été champions du monde, il est vrai , mais là aussi quelle triste coupe du monde et quelle triste finale…

La France a gagné avec d’une part beaucoup de chance (contre l’Argentine et contre la Belgique) et sans rien démontrer.

On est loin des matchs de l’équipe du Brésil en 1970 et même, plus proche de nous, lorsque nous avons été champions du monde en 1998 face au Brésil.



Deschamps a réussi à mettre sur pied une machine de guerre en 2018.

Les joueurs faisaient les efforts les uns pour les autres.

Alors, certes, ce n’était pas très spectaculaire mais c’était payant.



Cette fois, il n’y est pas parvenu, car il apparaît qu’en rappelant Benzema, son équipe a désormais une forte majorité de musulmans, et je me souviens des paroles de mon entraîneur concernant les musulmans il disait :

« Tu peux en intégrer 2 ou 3 maximum, sinon tu n’en est plus maître et c’est eux qui font la loi ».

C’est exactement ce qui est en train d’arriver à Deschamps.

Il suffit pour s’en convaincre de voir l’altercation avec Coman, c’est tout simplement inadmissible.

Tout comme est inadmissible Pogba qui exige des repas halal et refuse des bouteilles d’Heineken, un des sponsors, en conférence de presse.

Ce sont des professionnels, soit ils se soumettent aux desiderata de la Fédération, soit on les exclut, aussi bons soient-ils.

C’est la raison pour laquelle j’étais contre le retour de Benzema, même si durant l’Euro, il a été le joueur le plus prolifique et si, "footballistiquement", il a largement le niveau pour jouer avec les bleus, il a détruit, volontairement ou involontairement, la cohésion qui régnait dans cette équipe.

Désormais Giroud et Griezmann sont laissés de côté, or le foot a besoin de cohésion et d’un esprit d’équipe.

Vous pouvez avoir les meilleurs joueurs du monde, s’ils ne s’entendent pas et si ils ne jouent pas ensemble VOUS N’Y ARRIVEREZ JAMAIS.

Alors, qu’à contrario, si vous avez des joueurs moyens et s’ils se battent ensemble et les uns pour les autres, alors ils peuvent faire de grandes choses.

C’est comme ça que les Suisses nous ont éliminé, nous les champions du monde qui, soit dit en passant, ne font plus peur à personne.



Durant cet Euro, nous avons toujours été menés à la marque; sauf contre l’Allemagne qui a marqué contre son camp.

A chaque fois, nous sommes parvenus à revenir à la marque.

Hélas, contre la Suisse nous n’avons pas eu cette chance qui nous a souvent souri.

Il suffit de voir le tir de Coman sur la barre et un super gardien qui a fait l’arrêt qu’il fallait sur la tête de Giroud que tout le monde voyait déjà au fond.



Les journalistes ont aussi une grande part de responsabilité en comparant M’Bappé au roi Pelé.

Soit ils sont trop jeunes pour avoir vu jouer Pelé, soit ils n’y connaissent rien au football.

De même, lorsqu’ils encensent Pogba pour son match contre la Suisse.

Certes, il marque un but magnifique, hors de question de le lui retirer.

Mais en perdant un ballon au milieu de terrain, le troisième but des Suisses est bien pour lui et pour personne d’autres.



Je me souviens qu’on a crucifié Ginola pour avoir effectué un centre à la dernière seconde d’un France-Bulgarie, les Bulgares marquant sur la contre-attaque un but dans un angle improbable, ce qui nous a coûté la qualification à la Coupe du monde.

Alors, Messieurs les journalistes, un peu de modestie et arrêtez de transformer nos joueurs en vedettes, voyez ce qu’il en advient !

posté le 15/07/2021 11:08:31

COMMENTAIRES
verojlIl y a 614 jours
L'Italie s'appuie sur les « Oriundi », des joueurs naturalisés ayant des racines italiennes Avec les Brésiliens Emerson, Jorginho et Toloi dans ses 26, l'Italie continue de recourir à la naturalisation de joueurs aux désormais lointaines origines italiennes. Faute de choix parmi les Italiens pur sucre, Antonio Conte a convoqué en équipe nationale le Brésilien Eder et l'Argentin Vazquez, relançant la polémique sur la naturalisation des « oriundi », ces joueurs d'origine étrangère. « L'équipe nationale d'Italie doit être italienne ». Ce commentaire de l'ex-international Roberto Mancini a déclenché une tempête dans la péninsule, avant le déplacement de l'Italie en Bulgarie samedi pour les qualifications à l'Euro-2016. « Ce n'est que mon opinion », a tempéré l'entraîneur de l'Inter Milan. Et quand on lui oppose l'Allemagne championne du monde avec Mesut Özil, d'origine turque, ou Jerome Boateng, d'origine ghanéenne, Mancini de répondre qu'« ils sont nés en Allemagne ». « Un joueur italien mérite de jouer en Nazionale, alors que celui qui n'est pas né en Italie, même s'il a des parents italiens, ne le mérite pas », a insisté Mancini. Le sélectionneur Antonio « Conte a raison (NDLR: de recruter ces joueurs) si telle est la règle, mais moi je ne change pas d'avis », a-t-il poursuivi. Lui emboîtant le pas, Matteo Salvini, le jeune chef de la Ligue du Nord, un parti anti-euro et anti-immigrés, a réclamé sur Twitter « Que des Italiens en azzurro ». Le sélectionneur Conte a cependant glissé un petit tacle à ceux qui ne veulent que des Italiens, en rappelant qu'il avait voulu brasser large lors d'un stage en février avec une quarantaine d'internationaux potentiels, mais que cela lui avait été refusé par les clubs, dont... l'Inter de Mancini. Vazquez, mère italienne Conte a assuré n'avoir « jamais forcé personne ». Approché, l'Argentin de Palerme Claudio Dybala a ainsi refusé la sélection italienne. Toutes ces critiques « sont des bêtises », a assuré Eder, en évoquant le cas de Mauro Camoranesi, le joueur « naturalisé » (argentin d'origine) le plus capé en Nazionale avec 55 sélections. Le buteur de la Sampdoria Gênes, arrivé à 18 ans à Empoli, pense qu'il y a « un a priori contre les oriundi en Italie » et cite lui aussi l'Allemagne ou « la France et ses divers Africains », dans une interview au journal brésilien Diario Catarinense. « La mère de (Franco) Vazquez est italienne. Plus italien que lui... Si quelqu'un se sent une appartenance basée sur un lien affectif, tous ces discours ne servent pas à grand-chose », a commenté Giuseppe Iachini, son entraîneur à Palerme. L'Italie a toujours joué avec des oriundi, du latin oriundum (naître, tirer son origine). A l'image de Camoranesi qui était un des meilleurs à son poste, ou Thiago Motta, italo-brésilien qui joue au Paris SG, un club du top niveau européen. La polémique Eder et Vaquez est accentuée par le niveau pour l'instant modeste des joueurs appelés par le sélectionneur, dans la foulée de l'« Argentin » Gabriel Paletta ou du « Brésilien » Romulo, azzuri sous le prédécesseur de Conte, Cesare Prandelli. « Tout pour sortir des jeunes » « Conte a peu de choix parmi les Italiens », lâche Demetrio Albertini, vice-président de la Fédération italienne de football (FIGC). Le président de la FIGC, Carlo Tavecchio, épinglé cet été pour avoir utilisé une expression dégradante pour les joueurs noirs, a rappellé que l'Italie de Camoranesi avait « gagné une Coupe du monde en 2006 ». « S'il a la citoyenneté, il peut jouer, donc le débat est clôt », a ajouté Tavecchio. Mais en réalité, le débat continue. « Il y a la mondialisation, mais pour jouer dans une sélection il faut être né dans ce pays, y avoir grandi et en comprendre la mentalité », a ainsi estimé le coach de Cagliari, Zdenek Zeman. « On fait tout pour sortir des jeunes et puis on prend des oriundi », a regretté l'entraîneur du Hellas Vérone, Andrea Mandorlini. « Je ne suis ni le premier ni le dernier à convoquer ces, entre guillemets, oriundi », a insisté Conte. En 1934, le meilleur buteur de l'Italie championne du monde à Rome sous les yeux de Benito Mussolini s'appelait ainsi Raimundo Orsi, et il était né Argentin.

Inscrivez-vous pour pouvoir poster vos commentaires.
RUBRIQUES
- Photos - Vidéos - PPS - Pubs tv - Jeux - Tutoriels - Autre
A PROPOS
- Contact